A constaté  votre quotidien d’informations en ligne lemakona.com, après leur rencontre avec le chef d’Etat, une commission de sortie de crise à été constituée par le premier magistrat de la République afin de trouver une solution à la grève des Enseignants qui paralyse le système éducatif.

C’est ce mercredi 28 février 2018 au palais du peuple à Conakry, que cette première entre vue entre le syndicaliste Aboubacar Soumah et le comité de sortie de crise de l’éducation composé  du médiateur de la République, le ministre Tibou Camara, Taliby Sylla, le grand Imam de la mosquée Fayçal et l’archevêque.

Après des longs échanges entres les deux parties sur les mesures à entreprendre pour mettre fin à cette crise émaillée de violence et qui ne fait que des victimes, choses qui ne souhaite pas le parti au pouvoir.

Mais au cours de la négociation c’est contre vent et marée qu’il a été constaté par les explications des représentants d’Alpha Condé à sa tête les ministres Tibou Camara et Taliby Sylla ont tour à tour expliqué aux syndicalistes (Aboubacar Soumah et compagnons, ndlr) que les charges de l’Etat sont énormes, une manière de dire que les 40% de revendications des syndicalistes ne seront pas satisfaits.

La réponse du berger à la bergère, le syndicaliste Aboubacar Soumah a aussi  expliqué au comité que les 40% de revendications ne causeront pas d’impact sur ce qu’ils qualifient de charges de l’Etat.

Avant qu’il ne rappelle à la commission mise en place par le FAMA de la Guinée, qu’il y’à des ministres et d’autres cadres de l’administration qui mènent un train de vie très élève, mais qu’on ne parle pas de charge de l’Etat. Le syndicaliste a en suite persisté en disant haut et fort qu’il faut les 40% d’augmentation du salaire ou rien.

C’est sur ces mots du syndicaliste que la séance à été arrêté pour la reprendre à 17heures selon le programme.

Nous reviendrons

Fodé SOUMAH