Ce que je ne vous ai pas dit dans ma première publication, sachez que le journaliste délogé risque gros. Car un ultimatum de 72 h lui avait été donné pour s’acquitter obligatoirement de ses arriérés afin de rentrer définitivement en possession de ses objets et meubles. Au cas échéant, le concessionnaire revendra ses biens pour récupérer son argent. Il fait la gueule tandis qu’il risque gros.
Aujourd’hui, il est partagé entre payer l’argent du concessionnaire et trouver une somme pour se trouver un notre abri. La honte pour un journaliste de sa carrure dont le président évolue dans la fanfaronnade.
Il fait le dur alors qu’il est dans la merde.
L’heure est grave.
Fodé SOUMAH