Ce lundi 12 novembre 2018 dans la capitale guinéenne à Conakry, le Ministère de l’Environnement, des Eaux et Forêts (MEEF) en collaboration avec l’ONG Community Initiatives for Peace Développement CIPAD-Guinée, a tenu une conférence de presse dans le cadre du lancement officiel de la 2ème édition de l’émission Télé climat 24.

Cette rencontre a eu lieu sous les auspices du ministre d’Etat, ministre, de l’Environnement, des Eaux et Forêts (MEEF) Mr. Oyé Guilavogui en compagnie des cadres de son département.

Il faut aussi rappelé aux uns et aux autres que l’objectif principal de cette émission, est de sensibiliser la population sur l’impact du changement climatique et les menaces environnementales.

A l’entame de son intervention de circonstance, Mr. Guilavogui ministre, de l’Environnement, des Eaux et Forêts (MEEF) a fait savoir en précisant que : « notre pays la République de Guinée en ratifiant la Convention Cadre des Nation Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), s’est engagé à réduire à 13% des émissions de gaz effet serre d’ici 2030. »

Dans le même sens d’idée, il précisé aussi que « c’est l’engagement qui a été donc tenu par l’autorité guinéenne. Et pour ce fait, les besoins de financement sont estimés à 6,5 milliards de dollars pour la période 2016 et 2030. Pour le seul secteur énergétique. Le montant total est de 1,7% pour l’énergie, l’agriculture, le reboisement et la reforestation. », a-affiché – le Oyé Guilavogui le patron du ministère de l’Environnement

Pour sa part, Mamady Touré président de l’ONG CIPAD-Guinée, a expliqué que le thème principal de cette émission serait la problématique du changement climatique en Guinée.

« Elle va mettre en lumière les impacts du changement climatique. Alors, c’est pourquoi nous avons initié ce projet pour que les membres du département, tous les acteurs qui interviennent  dans le domaine du changement climatique dans sa totalité sur l’environnement, que nous puissions être en synergie ensemble pour mieux sensibiliser la population sur les impacts et éventuellement la menace environnementale », conclut-il

Fodé SOUMAH