L’ONG Action Guinéenne pour la Promotion des Ecoles Techniques et la Formation Professionnelle(AGPETP), se lance dans la dynamique de faire la promotion des écoles techniques en République de Guinée à travers les conférences débat. C’est dans ce cadre qu’elle a organisé la semaine dernière dans la commune de RATOMA, une rencontre d’échange et de sensibilisation  axé sous le thème : « l’Entreprenariat et l’auto emploi des jeunes ».  

L’ONG –AGPETEP compte 55 membre  dont 10 femmes, est crée le 21 mai 2017 à conakry,  dans l’enceinte de l’université libre de Guinée (ULG), suite à une longue réflexion sur la situation sociopolitique et économique de notre pays.

L’objectif  de l’ONG-AGPETEP est d’intervenir dans le domaine de la citoyenneté, de l’éducation, de la santé, de l’agriculture, de l’environnement et de l’assistance humanitaire.

A l’entame de son intervention, Bakary OULARE, président de l’ONG- Action Guinéenne pour la Promotion des Ecoles Techniques et la Formation Professionnelle, a d’abord remercier les autorités avant de parlé des responsabilités qui leurs attends.

« C’est le lieu et le moment pour nous de saluer les autorités du CFP de RATOMA et CENFOTOH de leur innombrable soutien. Par ailleurs, nous sommes conscients de la responsabilité qui nous engage et nous mesurons l’intérêts que cela apporte à l’émergence du pays ».

« C’est pourquoi,  AGPETEP interpelle l’Etat et lance un appel à l’égard des partenaires nationaux et internationaux, aux organisations non gouvernementales et à toutes les personnes de bonne volonté de nous accompagner dans l’accomplissement de nos objectifs », a-affiché le président de l’ONG-AGPETEP

Pour terminer son intervention, Bakary OULARE, en parlant de formation précisera aussi que : « La formation technique, autrement dit, la formation aux métiers des jeunes, est la solution idoine pou lutter résolument contre le chômage, la migration clandestine, l’exode rural, le banditisme, l’alcoolisme, la manipulation politique auxquels se livrent les jeunes par désespoir et par conséquent, font perdre considérablement au pays de ses bras valides. Raison pour laquelle, ces écoles doivent bénéficier de l’Etat et ses partenaires d’un appui technique et financier afin que celles-ci puissent livrer une formation de qualité en adéquation avec les besoins de l’Etat et des entreprises, pour une meilleur insertion socioprofessionnel des jeunes, en préservant la paix et la quiétude sociale ».

Fodé SOUMAH