La perspective de radiation des enseignants qui continueront à suivre la grève déclenchée par le SLECG d’Aboubacar Soumah, focalise déjà toutes les attentions.
Interrogé sur la légalité de cette mesure éventuelle du gouvernement guinéen, la troisième personnalité du SLECG, sensiblement surpris, indique que cette décision est : « en porte-à-faux, en déphasage avec les textes régissant le statut général des fonctionnaires de la fonction publique, ce n’est pas normal, ce n’est pas logique.
Le gouvernement n’a pas le droit d’envisager le licenciement d’un fonctionnaire, c’est de l’extrémisme, c’est de la démesure, c’est de la folie pour dire ces choses, ce n’est pas possible, c’est impensable », précise le professeur de philosophie. mosaique