À QUOI JOUE RÉELLEMENT LE SECRÉTAIRE GÉNÉRAL LE PLUS DÉCRIÉ DE LA MAISON DU FOOTBALL EN GUINÉE ? Tout porte à croire qu’il est en perte de vitesse. La preuve.
Le secrétaire général de la Fédération Guinéenne de Football-FGF a-t-il fait expressément le faux et usage de faux en écriture en adressant un courriel (voir ci-dessous) discourtois et irrespectueux datant du 30 octobre à un de ses patrons ? En adressant un tel courriel au doyen des vice-présidents de la FEGUIFOOT, Ibrahima Blasco Barry a justifié les carences et le manque de professionnalisme que lui reprochent les proches du très controversé président de la Fédération Bouba Sampil.
Un employé, a-t-il le droit de s’adresser publiquement à un de ses employeurs de cette façon ? On comprend mieux à travers cet écrit, pourquoi notre football est très mal géré en ce moment. Puisque le patron de l’administration fédérale ne connaît pas ses limites et ne sait pas être professionnel dans les écrits adressés à ses supérieurs hiérarchiques.
Concernant ce courriel, il faut rappeler que Blasco Barry est totalement à côté de la plaque ou montre une volonté manifeste de cacher des informations concernant la disqualification du Syli National Cadet pour fraude sur l’âge dont le premier à rendre des comptes est le secrétaire général de la Fédération qui est le patron de l’administration fédérale. Il ignore que Sorel Doumbouya au-delà d’être le président de la commission du football des jeunes… Dont le fait allusion Blasco, il a été élu comme vice-président chargé du football des jeunes. À ce titre, les statuts de la FGF le place comme le numéro un de tout ce qui est lié au football des jeunes. En cette qualité dont lui confèrent les statuts, il a le droit d’écrire au secrétaire général qui est son employé pour lui demander des comptes avant de présenter ce rapport au Comité Exécutif pour disposition à prendre. Mais ça, c’est quand le secrétaire général connaît son travail et est professionnel qu’il peut le savoir.
On comprend mieux quand on entend des supporters dire que pour garder sa place, le secrétaire général était obligé de prendre les pieds de Bouba Sampil afin de demander pardon et d’être gardé dans ses fonctions ; donc qu’il ne pourra plus jamais aller à l’encontre de la volonté de ce dernier. Dommage !
Voir ci-dessous les différences entre les signatures des courriers.
David Tchopnn Bangoura !
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