L’heure est vraiment grave à l’école saint joseph de cliny situé dans la commune de Kaloum Un responsable de direction de l’établissement aurait violé une élève sans suite.

Selon nos informations cette école catholique de renommée a perdu de nos jours ses valeurs d’antan, depuis l’arrivée de Marie Louise Barry comme première responsable de l’établissement, en 2012. Du licenciement abusif des enseignants en passant par le viol des jeunes filles, aucun doit ne se lève pour mettre un terme à ces pratiques non catholiques même de la part de l’archevêché, pourtant informé de ces situations,  à en croire les dires de notre source d’information.

L’acte de viol dont on parle s’est passé pendant l’année scolaire. Mais le dossier est toujours d’actualité puisqu’il se trouve encore dans les tiroirs de la DPJ sans issue dans la mesure où le présumé violeur en l’occurrence le directeur des études, un certain Monsieur Hyacinthe, de nationalité ivoirienne, n’a jamais été inquiété et est toujours à son poste.

« Avant, on pouvait voir de loin l’intérieur de ce  bureau à travers la fenêtre. Mais à sa  prise de fonction, monsieur Hyacinthe a mis les rideaux partout. Et c’est  là qu’on l’a surpris en train d’abuser d’une petite lycéenne. L’affaire est à la DPJ sans suite pour la simple raison que les responsables de l’école et les parents d’élèves s’arrangent à éviter le bruit », témoigne un  enseignant de cette école.

Des enseignants que nous avons rencontrés ont tous confirmé cette ‘’scène de viol’’ et d’autres pratiques malsaines soutenues à l’école par  Sœur Marie Louise Barry (la directrice), pratiques sur lesquelles nous reviendrons.

« Le directeur des études est protégé par la directrice. Pour preuve, c’est lui seul qui octroie de nos jours des notes de conduite à l’ensemble des élèves, du collège au lycée. Et pourtant, il n’est ni omniprésent à plus forte raison omniscient. Dans toutes les écoles, ce rôle incombe aux professeurs principaux. Comme pour dire qu’il a le feu vert de donner les notes sexuellement transmissibles », s’indigne un autre enseignant de l’école des jeunes filles Saint Joseph de Cluny de Kaloum, qui a requis l’anonymat.

Affaire à suivre !

 

kalenews