le Haut Commissariat des Droits de l’Homme dans son lutte contre la violence faite aux hommes, a organisé ce mercredi 26 juin dans la salle 28 septembre du palais du peuple à Conakry, une journée de concertation et de sensibilisation avec les forces de défenses et de sécurité pour le soutien des victimes de la torture en République de Guinée.
Cette rencontre d’échange et de concertation avait pour thème » le rôle et responsabilités des membres des forces de défenses et de sécurité en Guinée ».
Dans son discours de circonstance, Louis Marie BOUAKA, représentant du haute commissariat des Nations Unies aux droits humains (HCDH), précisera que, c’est une journée d’échange pour permettre aux autorités de discuter et ensemble trouver une solution pour mettre fin à tout acte de torture.
« Cette 2ème journée est spécifique, par ce que c’est une occasion qui est offerte aux praticiens de s’exprimer de dire pourquoi il y’a des cas des tortures dans leurs services, et ensemble nous allons discuter pour trouver la solution>>.
Plus loin, il soulignera aussi : « Ont va passer des textes de pratique. car en guinée les textes sont claire maintenant, ensemble nous allons essayer de changé le comportement des uns et des autres. C’est la raison pour la quelle cette session est réservé aux autorités chargé d’appliquée la loi, », a-t-il- affiché
Pour terminer son intervention, Louis Marie BOUAKA, représentant du haute commissariat des Nations Unies aux droits humains (HCDH), a rappeler que c’est l’occasion pour les agents de parler de leurs problèmes.
« C’est le lieu pour des magistrats, les avocats, et les officiers judiciaires de polices, de gendarmerie d’expliquer des problèmes qui leur préoccupent pour qu’ensemble une solution fiable soit trouver. il est vrai que certains auteurs d’actes de tortures sont poursuivis mais ce n’est pas seulement ça. On va continuer à ce que les victimes puissent exercer leur droit et saisir la justice pour cause ».
Selon les organisateurs, la déclaration commune de tous les mécanismes qui luttent contre la torture, reconnait qu’il y’a eu des avancées dans la lutte contre ce fléau en Guinée.
Fodé SOUMAH