Le constat est venu d’un simple fait, dans le cadre du match choc du championnat ligue 1 guinéenne du football professionnel, qui s’est joué entre le HAFIA FC et le HOROYA, ce Dimanche 26 novembre 2017 au stade du 28 septembre.
Comme d’ailleurs tous les matchs, quand les journalistes viennent pour la couverture médiatique d’un match, ils se présentent à travers la carte professionnelle délivrée par les différents organes. Pour ce match du dimanche entre HAFIA FC et le HOROYA, quand on a présenté les cartes aux services de sécurité civile du jour « BIZ SECURITE » accompagné des policiers ils ont carrément bloqué l’accès aux journalistes.
Selon eux, ils auraient reçu l’information de la ligue guinéenne de football professionnel (LGFP) de n’est laissez aucun journaliste de rentrer seulement les journalistes du groupe de presse CIS-MEDIAS d’Antonio Souaré.
La question que tout le monde se pose est de savoir qui veut politiser le championnat en divisant les journalistes ? Quelle est l’institution qui a la gestion du championnat guinéen ? Est-ce que la fédération guinéenne de football (FEGUIFOOT) ou la ligue guinéenne de football professionnel (LGFP)?
Il faut le dire sans langue de bois, ni de haine, l’heure est grave dans les stades qui abritent le championnat. Et, il faut respecter la presse dans son ensemble surtout dans l’exerce de leur fonction. Mais chassez que la presse est indivisible. Parce que à un certain moment il faut que le pouvoir arrête le pourvoir comme l’a dit Montesquieu dans son célèbre roman ‘’l’esprit des lois’’.
Et, vous les détracteurs si vous êtes décrié aujourd’hui ce n’est pas la faute à la presse, c’est parce vous n’avez pas l’esprit des lois.
Nous y reviendrons
Fodé SOUMAH