Si dans le jargon de la médecine, les pilules augmentes les risques vasculaires, provoquant des infarctus ou des AVC. En République de Guinée depuis l’installation du comité de normalisation (CONOR), dirigée par Mariame Sy Diallo et Sega Diallo, ils engendrent les mêmes effets dans le milieu footballistique en Guinée, et même pire que ça.
Sans aucun commentaire, le monde entier était d’accord que sport roi guinéen était au sommet de l’Afrique, et cela, les observateurs du football en parlent à chaque occasion. C’est pourquoi sous la présidence de monsieur Mamadou Antonio Souaré, la fédération guinéenne de football recevait à tour de rôle les félicitations des instances du football FIFA et CAF, mais aussi les félicitations des acteurs du football africain et mondial.
Mais depuis que la FIFA a fait avalé à la Guinée les mauvaises pilules notamment Mariame Sy Diallo et Sega Diallo, les quatre (4) années d’efforts et d’investissements de l’ancienne équipe est en train d’être multiplier par zéro par la haine de ce comité de normalisation (CONOR), au vu et au su des autorités à l’occurrence le comité national du rassemblement pour le développement (CNRD).
Dame Mariame Sy Diallo et son vice-président seraient sur le point de faire de la haine, la division, les règlements de comptes, le sabotage leurs outils de travail pour satisfaire les demandes criminelles d’un certain Amadou Diaby dans son projet machiavélique qui est de détruire la bonne vision de développement du football guinéen prôner par Antonio Souaré et son équipe.
Comité de normalisation (CONOR) ou Comité de Division (CODI) ?
Parce que depuis l’installation de ce fameux comité de normalisation rien n’est normal dans leur démarche. Au contraire, ce comité serait sur la voie de tous mettre à l’eau. Il est devenu comité de division. La preuve en est que : à seulement quelques semaines de son installation pour incompétence de sa présidente Mariame Sy Diallo et du vice-président Sega Diallo, les membres de la cellule de communication de la FEGUIFOOT ont tous démissionné.
Secondo pour les pratiques malsaines du vice-président Sega Diallo à la Can, les joueurs étaient sur le point de quitter la compétition organisée sur le sol camerounais. Chose qui a même fait couler beaucoup d’encres et de salives au Cameroun également en Guinée. Selon des observateurs, ce sont des choses qui seraient même à la base de l’élimination du syli national à la Can sans oublier l’amateurisme du sélectionneur Kaba Diawara. L’on ne doit même pas tâtonner en disant que la division des hommes de médias était aussi au rendez-vous.
L’image du championnat national de Guinée ligue 1 professionnel est sur la direction du naufrage, la grève des arbitres en témoigne parfaitement cette réalité. Le dernier cas est la démission des deux administrateurs de centre technique de Nongo Ibrahima Megha Conde et salif Kansita camara, deux cadres importants qui sont à tous les fronts pour le développement du football guinéen et l’honneur de la République de Guinée dans le monde.
Il ne faut pas se voiler la face pour dire les choses comme elles sont. La démarche du comité de normalisation dans le cadre de la gestion administrative de notre ballon rond est une démarche douteuse et cela prouve suffisamment que le football guinéen est sur une mauvaise posture et une pente glissante depuis la mise en place du CONOR.
Très loin de l’immixtion des politiques, mais si le président de la République, Mamadi Doumbouya ne met pas en garde ses punaises du football guinéen, l’image honorifique qu’à donner Antonio Souaré et son équipe au football guinéen dans son ensemble, risque de se perdre cela par la mauvaise foi des hommes qui tapent dans l’ombre en collaboration avec le CONOR.
Nous y reviendrons.
Fodé SOUMAH