Trafic de visas, surreprésentation des participants guinéens à la Cop23 de Bonn, favoritisme et l’ethnocentrisme sont entre autres des pratiques auxquelles se seraient servies Madame Aissatou Baldé, la ministre guinéenne de l’environnement pour aller vendre négativement la Guinée à Bonn.

Une fois n’est pas coutume, c’est un nouveau scandale qui s’ajoute à la mauvaise gestion des préparatifs de la participation de la Guinée à la COP23 par le Ministère de l’Environnement, des Eaux et Forêts. Cette fois, la Ministre Aissatou Baldé risque gros au regard des questions d’immigration clandestine qui se posent.

A en croire à nos confrères du site lapresseguinee.com, Participante à la 23ème conférence des Parties sur le climat (COP 23) à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) qui s’est achevée le 17 novembre à Bonn en Allemagne, la Guinée s’est faite négativement illustrée du fait du nombre pléthorique de sa délégation.355 personnes au lieu de 45 personnes. Voici le nombre de personnes qui composeraient la délégation guinéenne présente actuellement à la 23ème conférence des Parties sur le climat (COP 23) à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) qui s’est ouverte le 06 novembre 2017 à Bonn.

Selon nos confrères de Financial Afrik, la République de Guinée à elle seule, était représentée par une délégation de 355 personnes à la COP 23 de Bonn. Ce nombre dépasse de loin la normal qui est de 45 personnes.

Paradoxalement, nous avons vue sur les images de la télévision nationale RTG Koloma, le stand du pays qui s’étendait sur 100m2 (le plus petit) était visiblement vide. La question à se poser est de savoir ou est ce que ces 355 personnes sont allées.

Toutefois, la Guinée n’était pas seule sur cette fameuse liste des mauvais élèves en termes de respect du nombre de participants.

Notre pays est précédé par la Côte d’Ivoire (492 participants), la République démocratique du Congo (340), le Congo (308) et le Maroc (253), confie le site d’informations.

Par ailleurs, si la Côte d’Ivoire a réagi face à ces accusations à travers sa Ministre de l’Environnement depuis Bonn, il est important de se demander si Conakry en ferra de même.

Cette affaire fait déborder le vase des  accusations portées sur le département de l’environnement ainsi que son point focal à propos de la gestion de la COP23.

Nous y reviendrons !!!

In Leprojecteurguinee