En dépit d’une immense confiance placée par Souare sur ses proches collaborateurs le président de fédération guinéenne de football continu d’être aveugle sur les magouilleurs qui poirotent autour de lui.
Le fait le plus présent est la situation catastrophique que traverse l’écrasante majorité de nos concitoyens venus à Casa pour pousser l’équipe du syli national local vers la victoire.
Par ailleurs de fortes sommes qu’on peut évaluer en des milliers de dollars ont été dégagées par le président Souare afin de mettre ses concitoyens venus au compte de la fédération guinéenne de football dans des meilleures conditions optimales de séjour.
Mais très malheureusement ces fonds ont connu une destination sombre outre que celle escomptée.
Le mauvais traitement et la faim sont les cavaliers de nos concitoyens. Le ratio alimentaire étant une raclée par jour pour certains était inexistant pour d’autres.
À cela s’ajoutent les primes de séjour de ces derniers et les surfacturations déposées sur la table du président Antonio Souare. Sans compter la discrimination exacerbée entre les journalistes envoyés spéciaux.
Selon des sources bien introduites, certains journalistes, considérés être de véritables avocats de monsieur SOUARE, auraient individuellement eu droit à 500 dollars avant le départ de Conakry, au détriment des autres. Chose qui piétine la confraternité entre les hommes de médias dans leur profession.
Nous y reviendrons pour plus de détails
Joseph Guilavogui