BLESSURE NEYMAR – Touché au pied la semaine passée, Neymar devrait rater le 8e de finale du PSG contre Manchester et un éventuel quart de finale. Une opération est même envisagée. Les dernières infos.
[Mis à jour le 28 janvier 2019 à 15h59] La blessure au pied de Neymar continuent de susciter l’inquiétude du côté du PSG, à quinze jours du huitième de finale aller de Ligue des champions contre Manchester United. Et la tendance est clairement au pessimisme au sujet d’une éventuelle participation du joueur. Selon L’Equipe, ce lundi, le forfait du Brésilien est certain pour les deux rendez-vous face au club anglais (12 février et 6 mars), et l’indisponibilité du joueur pourrait même se prolonger dans les semaines suivantes. Selon le quotidien sportif, Neymar pourrait en effet rester sur le flanc jusqu’à la fin du mois de mars, au minimum, et donc manquer également l’éventuel quart de finale du PSG en C1. L’Equipe indique également que la question d’une opération de Neymar, qui souffrirait d’une pseudarthrose (manque de consolidation de sa fracture contracté l’an passé), divise : le PSG y serait favorable, tandis que le staff de la sélection brésilienne souhaiterait éviter une intervention chirurgicale qui mettrait sans doute un terme à la saison du joueur.
Pour le PSG, cette blessure de Neymar ravive aussi le cauchemar de la saison passée. Rappelons qu’en février dernier, le Brésilien, blessé au pied face à l’OM, avait dû déclarer forfait pour la double confrontation face au Real Madrid, en 8ème de finale de C1. Paris avait été battu lors des deux matchs et avait quitté prématurément la compétition. Cette année, un espoir subsiste encore sur la participation de joueur au huitième de finale retour, qui aura lieu le 6 mars. D’ici là, Thomas Tuchel et le PSG vont devoir apprendre à vivre sans leur star. Des joueurs comme Julian Draxler, Moussa Diaby et et Eric Choupo-Moting devraient en profiter pour gagner du temps de jeu. A moins que le PAris Saint-Germain ne tente de recruter en attaque lors des derniers jours du mercato mais les contraintes imposées par le fair-play financier ne lui laisse pas beaucoup de marge de manœuvre.
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