mercredi 27 juin 2018, sa politique générale devant les députés à l’Assemblée Nationale. Alors que les élus continuer à poser des questions au Premier ministre, nous avons tendu notre micro à quelques acteurs dans les couloirs du palais du peuple.
« C’est un programme qui balaie les défis qui attendent le moment et qui prend en compte les priorités de la population notamment la tolérance zéro contre la corruption », a réagi à chaud Dr Dansa Kourouma, président du Conseil National des Organisations de la Société Civile (CNOCS).
Le Président du Conseil national des organisations de la société civile, a aussi des regrets. « D’une manière globale, nous n’avons pas entendu d’engagement du chef du gouvernement dans le cadre de l’organisations d’élections législatives et présidentielles en 2020 qui soient acceptées, crédibles, transparentes et sans conflit »‘
« J’ai vu un Premier ministre serein, humble par rapport à la mission, qui assume les responsabilités qui l’incombent avec assez de hauteur et qui reconnaît à son mentor que le choix porté sur sa personne n’était pas un choix fortuit. Dans son discours, il est resté loyal au chef de l’Etat qui l’a choisi… un premier ministre aussi qui assume son passé d’appartenir au régime de Lansana Conté, son passé de ministre et son origine identitaire. Dans le fond, la première chose, nous société civile, je le pense à mon fort intérieur, ce discours prend en compte les préoccupations de la société civile par rapport à la gouvernance de ce pays. Notamment la lutte avec tolérance zéro contre la corruption et les biens mal acquis. La deuxième chose que j’ai notée, c’est la prise en compte d’une autre préoccupation qui est la recherche de la prospérité collective par la répartition ou la redistribution de la richesse nationale au profit des communautés, au profit des plus pauvres notamment les femmes et les jeunes« , a aussi déclaré Dansa Kourouma.
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