Une sagesse africaine enseigne : « Que quand tu n’as rien à dire, dit qu’il y a le poisson dans l’eau ». La critique est un impôt que l’envie perçoit sur le mérite. La parfaite valeur d’un homme est de faire sans témoins ce qu’il serait capable de faire devant tout le monde. Quand on voit des individus s’acharner contre un homme dont le mérite est à la hauteur des actions qu’il pose pour ses compatriotes, on en rit. Malheureusement la voix de la conscience et de l’honneur est bien faible quand les boyaux crient. Quand l’homme est dans l’incapacité de cerner ses besoins, quand il n’a plus le contrôle de son équilibre économique et morale, il se livre à des activités qui entament son honneur et sa dignité. Il lui faut mentir pour vivre, calomnier pour exister ou accuser pour empocher les dividendes de sa bassesse.
Avant le CNRD et bien avant aussi son passage à la présidence de la FEGUIFOOT, Antonio Souaré a toujours été adulé par les femmes et les artistes pour lesquels il a toujours été un mécène. C’est mal le connaitre quand on affirme qu’il est allé chercher les femmes pour se faire plaire au CNRD, c’est ridicule et même irréfléchi de la part de ces alimentaires. Cela dénote que Mamadou Antonio Souaré n’a plus d’ennemis quand ils sont aussi malheureux. Quand on est sage comme Antonio, on apprend bien de choses de ses ennemis. C’est aujourd’hui une aberration de se servir du soutien au Général Mamadi Doumbouya comme une mauvaise chose. Tout le peuple de Guinée est engagé dans ce soutien, pourquoi pas alors Antonio Souaré qui aime sa patrie autant que le Président Doumbouya.
En dehors de Mamadou Antonio Souaré quel autre guinéen a eu le mérite d’être qualifié de ‘’Messi’’ de la culture et du sport en Guinée ? Même quand on n’aime pas le chien il faut tout au moins reconnaitre la blancheur de ses dents. Mais hélas quand un individu est obnubilé par le mépris et la haine, on déraisonne à telle enseigne qu’il se livre à forger des mensonges rocambolesques sans aucun fondement rationnel. Si le passage de Mamadou Antonio Souaré à la tête de la FEGUIFOOT avait été calamiteuse comme on veut le faire croire, pourquoi il n’a pas été poursuivi par la loi. Son bilan a été plus que positif avec tous les avantages qu’il a donné à son pays. Antonio Souaré a le minimum pour s’assurer une vie décente, il n’a pas besoin de se livrer à la manipulation frauduleuse des ressources financières de la FIFA et de la CAF destinées au football.
La CAF a déclaré l’incompatibilité de la fonction de président de la FEGUIFOOT avec les jeux de hasards, Antonio Souaré a bien compris cette remarque. D’ailleurs cela fera l’objet d’une importante action économico judiciaire qui aboutira à l’arrêt de Guinée Games avec la mise au chômage des centaines de jeunes guinéens. Le comité de discrédit mis en œuvre contre Antonio Souaré use de toutes les machinations cabalistiques pour nuire à son image. Il faut savoir qu’avoir beaucoup de critiques, c’est un succès et c’est le succès qui fait les grands hommes. Au cours d’une élection, on choisit souvent le meilleur ou tout au moins celui qui peut vous être utile. Il est absurde de dire que le choix fait par Antonio Souaré a été la cause du départ des représentants guinéens à la CAF, c’est ridicule. Cela ressemble à la tragédie du chasseur d’un village, ses habitants ont moissonné son champ de fonio parce qu’il a raté une biche, c’est qu’il y avait la famine au village.
Pour ce qui est du stade de Nongo, il a signé un contrat d’exploitation avec l’Etat, tout l’argent qu’il a utilisé pour rendre ce stade attrayant et opérationnel était son propre argent et non celui de l’Etat. Par la même hypocrisie ce contrat a été annulé sans pour autant dédommager Antonio Souaré. Et aujourd’hui ces malhonnêtes et sombres individus veulent coller cela à Antonio c’est le comble de l’irresponsabilité et de la lâcheté. Pourtant le stade Nongo a abrité un match du Syli contre le Mali mais, les autorités d’alors ne voulant aucunement la tenue des matches en Guinée au profit des centaines de milliers de francs de la délocalisation, ont préféré cela. Et ce comité de discrédit est aveugle et sourd face à cette tricherie, on accuse encore Antonio Souaré qui toujours avoué ses défauts pour réparer par sa sincérité le tort que lui font ses détracteurs dans l’esprit des autres.
Que l’on soit analyste ou journaliste, il faut tout faire pour aimer et défendre la vérité. Mais aujourd’hui ceux qui se livrent à une telle manœuvre affiche leur manque de dignité et de responsabilité face à leur personnalité. Se rabaisser si gravement pour se livrer à de tels comportements, prouve que l’on marchande son savoir-faire pour nuire à d’autres qui usent de la loyauté et de la vérité pour bâtir autour d’eux une véritable réputation. Leur mérite attire l’estime des honnêtes gens et leur étoile celle du public. Antonio Souaré a un objectif celui de se rendre utile à sa patrie, ce ne sont ni les calomnies ni, les cabales qui lui feront dévier de cette voie. A ces petits individus répugnants et exécrables, qui n’ont aucun grain d’honneur ou de honte, il dit : « L’homme qui s’apprête à traire une lionne n’a que faire des bourdonnements d’une mouche ».
Ce n’est pas Antonio Souaré qui a été la cause de la non-qualification du Syli, ce n’est pas lui non plus qui a occasionné la disqualification de toutes les sélections nationales des compétitions continentales, il faut avoir le courage de reconnaitre l’incompétence de Bouba Sampil et de sa clique. La CAN de la Côte d’Ivoire a bien connu la participation du Syli national pourquoi alors pas le Maroc. L’irresponsabilité de Bouba Sampil l’a amené à confondre le jugement subjectif au jugement rationnel. A cause des opportunistes qui gravitent autour de lui et de l’appétit de pouvoir de certains individus inexpérimentés, il a limogé inconditionnellement le méritant Kaba Diawara au profit d’une bande d’incompétents. Il a mis en exergue son manque de patriotisme et privilégier sa cupidité au détriment du peuple de Guinée.
Depuis combien de mois les travaux de restauration des deux stades ont été lancés, le délai annoncé est même dépassé. Personne ne peut dire les démarches de la FEGUIFOOT pour talocher les travaux sur les deux stades. On se plait toujours à entretenir les méthodes susceptibles de faire sortir l’argent du contribuable guinéen pour garnir leurs poches. Les primes des jeunes footballeurs qui abandonnent leurs clubs pour répondre à l’appel de la patrie ne sont pas payés équitablement et à temps. Si au moins Sampil et ses acolytes avaient maintenu tout ce qui a été mis en place par Antonio Souaré, on ne serait pas là aujourd’hui. Même la ligue de football professionnelle est aux arrêts et le bailleur a démissionné pour la simple raison que les ressources qu’il donne ne sont pas bien gérées. Ça ce n’est pas Antonio Souaré mais Bouba Sampil pourquoi vous ne le dénoncez pas, ce n’est pas facile quand on mange dans la main de quelqu’un il faut user de toutes les inconsciences et irresponsabilités pour continuer à brouter les herbes de la bassesse et de l’humiliation.
L’ennemi du football guinéen est bien Bouba Sampil qui, depuis son arrivée à la tête de la FEGUIFOOT il n’a posé aucune action connue et il a par sa mauvaise gestion, plongé le football guinéen dans une léthargie inextricable. Le peuple de Guinée est désespéré par la conduite du football, c’est pourquoi leur souhait le plus ardent est le départ de cette bande de mauvais guinéens, opportunistes et saprophytes.
Il faut décapiter ce serpent Bouba Sampil pour le bonheur du peuple de Guinée.
Source : letengue.com