Ce lundi matin, une frange de la presse guinéenne basée à conakry et qui émet dans l’illégalité dans plusieurs villes de l’intérieur du pays, dans son émission de délation et d’escroquerie s’est attaquée au directeur national des impôts, Aboubacar Makissa Camara dans l’intention de l’avoir pour des questions de sous.
L’émission dont l’objectif est connu par tous (la diffamation), s’est ouverte ce matin pour qualifier les actions de M. Camara en faveur du parti au pouvoir et au président de la république de » démagogie ». Etant donné que le chef de l’Etat, prof Alpha condé, a privé tous les guinéens et toutes les guinéennes du décret nommant Aboubacar Makissa Camara, directeur national des impôts. N’est-il pas ingrat, celui qui se met en marge des actions de l’homme qui l’a nommé ? La réponse est oui ! Oui et oui !!!
Le principe de neutralité de l’administration dont il est question est un principe dans le cadre du service public, c’est à dire l’équité et l’égalité de traitement des administrés sans tenir compte de leurs sensibilités politique, religieuse ou communautaire.
Dans l’application de ce principe qu’ignorent des arnaqueurs qui animaient ce matin l’émission diffamatrice, Aboubacar Makissa est irréprochable dans son domaine et il le prouve à chaque occasion. La direction nationale des impôts étant un service public ne peut guère se mettre en l’écart des actions de ce dernier. Il y a lieu de signaler cela.
Il faut aussi apprendre aux diffamateurs que dans tous les pays du monde l’administration est dirigée à 80 % par les politiques et le droit d’être responsable politique est un droit constitutionnel qui est garanti à tous.
Il faut lever cette confusion qui reste encore visible dans l’esprit de certains extrémistes, haineux et égoïstes cherchant à salir les dignes et honnêtes personnalités du pays que l’administration publique est une et indivisible.
Il faut aussi signaler que le droit de reconnaissance d’Aboubacar makissa camara envers le chef de l’état ne pourrait lui être retiré quelque soit la taille de la délation. Parce que tout simplement, Camara est humain et reconnaissant.
Mohamed SOUMAH