On peut ne pas l’aimer mais l’homme a des qualités avérées et un mérite qui imposent le respect.

Il y a peu de tâches aussi ingrates que celle de diriger la fédération dans un pays comme la Guinée. Avec treize millions de passionnés de foot, et autant de « sélectionneurs », comme aimait à le dire le doyen Pathé Diallo, l’on n’est jamais à l’abri du désaveu.

La contreperformance du Syli National crée un tôlé et des déboires dans le Pays et certains tapis dans l’ombre veulent profiter de cela pour abattre Antonio SOUARE qui s’investit nuit et jour pour le football de notre pays.

A mon analyse le tord d’Antonio SOUARE, aura été d’investir son argent propre à lui pour le développement de notre sport roi par amour pour le Pays. C’est le rôle d’un vrai patriote.
Les élucubrations qu’on entend aujourd’hui ne peuvent être que la pensée de pseudo- analystes qui après moult tentatives ont vu que le football guinéen est aujourd’hui pris en compte au plan continental avec le changement d’indice dans la participation guinéenne aux compétitions continentales.

Nous devons pouvoir nous souvenir, nous remémorer des bienfaits positifs acquis par notre football depuis quelques années. Et cette marge de progression ira en s’accentuant. C’est peut être cela qui fait peur aux mauvais esprits.

Ibrahima Diallo