Suite au comportement haineux des détracteurs qui laissent entendre à travers des médias que, le président de la fédération guinéenne de football Mamadou Antonio SOUARE, souhaiterait remplacer son secrétaire général  Maurice Akoi Koivogui, un mensonge monté avec haine pour mettre en mal deux cadres exemplaires qui se battent nuit et jour pour le développement du football guinéen, ou encor pour déstabiliser l’institution dirigeante du football guinéen.

Malgré le bon fonctionnement de la FEGUIFOOT à travers l’équipe dynamique du président Antonio SOUARE, les détracteurs continuent de trainer le nez ici et là pour polluer la cité avec des pratiques obscures qui est bien sûr ‘’ LA DIFFAMATION DES CADRES ‘’ chose qui n’honore pas la République de Guinée.  Nous devons par compte être fiers  de nos dirigeants travailleurs comme Mamadou Antonio SOUARE, le colonel Maurice Akoi KOIVOGUI etc…

D’abord vous détracteurs, vos imaginations de sabotages à travers lesquelles vous avez manipulé certains mèdias pour publier des articles sur des sites d’informations où encore sur des réseaux sociaux en disant  avec un langage de baliverne que,  Mamadou Antonio SOUARE souhaiterait changer son secrétaire général l’imperturbable Maurice Akoi KOIVOGUI, une manière pour vous de déstabiliser les deux personnalités qui sont à tous les fronts pour le bonheur du sport en Guinée.

Vous devez savoir que, ce duo qui fait aujourd’hui la fierté du football guinéen dans le monde, a déjà écrit son nom dans le livre d’or de la République de Guinée et cela à travers des actes qu’ils ont posés devant les guinéens et guinéenne y compris le monde entier. Aujourd’hui Antonio souaré et Maurice Akoi koivogui forment une même famille.

Laissez les guinéens vous dire que, vos plans pour déstabiliser les soldats qui se battent sous la pluie, sous le soleil, dans la nuit, pour le développement  du football en Guinée ne marchera point ici en Guinée. Car c’est grâce à Mamadou Antonio SOUARE en tête et le colonel Maurice Akoi KOIVOGUI que le football guinéen aspire aujourd’hui du bonheur.

Les cadres là ne répondront jamais aux balivernes. Car ils ont vraiment du boulot à faire. Comme là dit l’autre : « le crapaud veut cracher sur le grand, mais le grand ne crachera jamais sur le crapaud ».

Fodé SOUMAH