Conakry, GUINEA: Rabiatou Serah Diallo (R), secretary general of the National Workers Confederation of Guinea, attends a meeting with unionists at the people’s palace 25 February 2007 in Conakry. Guinea’s embattled President Lansana Conte has agreed to change his prime minister, prompting the west African country’s trade unions to end a general strike, union leader Ibrahima Fofana said today. AFP PHOTO/GEORGES GOBET (Photo credit should read GEORGES GOBET/AFP/Getty Images)

En 2010, elle a été la principale artisane pour l’élaboration de l’actuelle constitution que Alpha Condé et ses proches rêvent de changer.

Selon des informations de nouvelledeguinee.com, l’ancienne égérie de la grève générale illimitée de janvier-février 2007 aurait même «  forcé » le général Sékouba Konaté, ancien président de la transition, à valider la constitution actuelle ayant permis, par deux fois, l’élection de Alpha Condé pour deux mandats non renouvelables.
La future constitution, si elle passe, pourrait emmener l’ancienne syndicaliste à une  » retraite » anticipée.

D’après des informations crédibles et concordantes parvenues ànouvelledeguinee.com, la future Loi Fondamentale prévoit quatre Institutions Républicaines. Le fameux Conseil Economique et Social, dirigé par Rabiatou Sera Diallo, est voué à la disparition.

La Cour Suprême avec une chambre constitutionnelle, l’Assemblée Nationale, le Conseil des Sages et le Conseil National de la Communication seraient les principales Institutions Républicaines prévues, d’après nos informations, par la nouvelle constitution.

 

 

 

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